Le laboratoire d’idées

En terres hostiles

Dans cette épopée de l’être humain à la découverte et à l’exploration du monde, l’hostilité de la nature sauvage demeure un enjeu capital lorsqu’on décide de la défier. Que ce soit sous la canopée étouffante des forêts de l’Amazonie ou dans les conditions difficiles des contrées nordiques de l’Alaska et de certains États américains, plusieurs ont tenté de braver ses éléments, à la conquête d’un idéal personnel parfois fatidique. Cette semaine, nous vous proposons trois aventures tragiques qui ont marqué l’histoire, en nous rappelant avec humilité que la nature est passée maître dans l’art d’imposer sa domination à ceux qui tentent de l’affronter.

L’effet papillon

« L'Effet Papillon » est une expression qui résume une métaphore concernant le phénomène fondamental de sensibilité aux conditions initiales de la théorie du chaos. La formulation exacte qui en est à l'origine fut exprimée par Edward Lorenz lors d'une conférence scientifique en 1972, dont le titre était : « Le battement d'ailes d'un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? » C'est à travers des théories ingénieuses qu'il est possible de décrire ces systèmes dynamiques complexes et que nous nous posons l'inévitable question : est-ce que le libre-arbitre est une réalité à la dynamique de notre univers, ou au contraire somme-nous dans un déterminisme stricte qui modélise les actions de tous et chacun ?

Le démon dans la tête

Que l'on soit croyant ou non, le phénomène de possession démoniaque et de leur exorcisme nous confronte à la réalité inhérente du bien et du mal. À certaines périodes de l'Histoire, bien des âmes on subi la stigmatisation des doctrines religieuses face à des comportements erratiques qui aujourd'hui font figure, en partie, de maladies mentales d'un point de vue scientifique. Cette semaine, noux explorons certains cas célèbres bien documentés qui encore de nos jours soulèvent le mystère et le questionnement malgré les nombreuses avancées scientifiques dans le domaine de la santé mentale.

**Spécial Halloween**

Dans ce podcast spécial d’Halloween, le sujet sera scindé en deux temps. Dans un premier temps, nous partons à la découverte de ce jour de fête qui puise son origine dans les coutumes païennes des peuples celtiques, il y a plus de deux milles ans. À travers le temps et l’influence de la religion chrétienne, cette célébration a été assimilée à la veille de la Toussaint (1er novembre) et au lendemain de celle-ci, la Fête du jour des Morts (2 novembre). Aujourd’hui, c’est à travers divers symboles, comme les déguisements et les bonbons, que cette «Halloween» fait le bonheur de tous. Et dans un deuxième temps, on vous plonge au cœur de la terreur et de l’horrible, alors que l’on vous présente quelques cas véridiques d’histoires d’horreur qui ont défrayer la manchette, dans les dernières années, à l’occasion de l’Halloween.

L’humanité et les drogues

Depuis les prémices de la préhistoire, l’humanité a partagé cette existence à travers l’emploi et la consommation de diverses drogues lors de rites, de célébrations religieuses et de soins médicaux pour émanciper leur psyché vers un contact plus directe avec l’univers et les dieux de cette époque. Bien que dans le monde moderne la consommation de drogues subit une réglementation stricte dans la plupart des sociétés, aujourd’hui nous plongeons au cœur de ce dilemme qui divise l’opinion publique pour tenter d’explorer certaines pistes de réflexion quant à son usage et sa restriction.

Les ténèbres et la mer

Souffrez-vous de thalassophobie, cette peur intense et persistante de la mer, que ce soit de vous y baigner ou d’y voyager? Cette phobie prend tout son sens lorsque nous découvrons le destin tragique de plongeur ou de rescapés perdu en mer, les mythes et légendes de capitaines, de leur navire et de leur équipage, qui ont fait naufrage, qui ont observé des vaisseaux fantôme à la dérive dont, souvent, l’équipage avait disparue complètement, sans laisser de traces. Aujourd’hui, on vous présente plusieurs de ces histoires qui ont fomenté l’imaginaire et qui continue de nourrir l’aura mystérieuse des océans.

Les technologies du futur

Bien que la science derrière l’intelligence artificielle trône au sommet de sa popularité et des avancés technologique dans ce domaine, plusieurs innovations ont su se tailler une place d’importance au cours des dernières années. Que ce soit l’émancipation de l’informatique quantique, des implants cerveau-ordinateur (ICO) ou des capacités réseautiques de l’Internet des Objets, l’évolution de ces technologies se produit à une cadence qui ne s’essouffle pas et qui s’accentue. Sommes-nous dans l’erreur en laissant celles-ci se développer presque sans condition, en remodelant notre quotidien trop rapidement? Comme dans toute science qui se vaut, l’humanité se doit de faire ses devoirs en la matière.

Les phénomènes de poltergeist

Bien que le poltergeist se différencie du spiritisme et de la métaphysique de l’âme réincarnée sous la forme de spectres ou de fantômes, celui-ci se manifeste souvent dans un contexte où une personne semble être la source des phénomènes observés. Ces manifestations se traduisent, inconsciemment, par des bruits inexplicables, des lévitations d’objets divers et par l’apparitions d’objets qui ont vraisemblablement transgressés les lois les plus élémentaires de la physique. C’est à travers différents cas très intéressants que nous démystifions la parapsychologie associée aux explications de ces phénomènes.

Le coeur sombre des guerres

C’est à travers nombreuses guerres d’idéologies et de pouvoirs que l’humanité s’est exprimée pour revendiquer sa protection et sa suprématie dans des affrontements meurtriers, tant au nom de la liberté que pour promouvoir un fascisme extrême. Bien que le visage des dirigeants changent au fil du temps, il n’en demeure pas moins que les fondements de la guerre sont ancrés dans des querelles archaïques de principes, de religions et de possessions territoriales au nom d’une justice souvent inapparente. Cette semaine, nous vous présentons des guerres contemporaines qui ont marqué le cours de l’histoire par leurs dénouements

Le grand fléau

Si la dernière pandémie de covid-19 est responsable de près de sept millions de décès à travers le monde, jusqu’à maintenant, rien ne peut égaler deux des plus grandes catastrophes sanitaires que fût la grippe espagnole (février 1918 à avril 1920) qui emporta avec elle entre 25 et 100 millions de victimes et la peste noire (1346 à 1353) qui décima entre 75 et 200 millions de gens soit entre 30% et 50% de la population mondiale de l’époque. Avec un taux de mortalité entre 5% et 10% pour la grippe espagnole et entre 40% et 60% pour la peste noire, rien ne prépara l’humanité à de telle apocalypse.